we accept the love we think we deserve. ✣ (troian)

NE M'AIME PAS MAINTENANT, J'AI TROP DE TRAVAIL, AIME MOI PLUS TARD, QUAND TOUT SERAS CALME, QUAND JE N'AURAIS PLUS QUE TOI EN TÊTE, QUAND TOI ET MOI ON SERAS SEUL CONTRE LE RESTE DU MONDE. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours étais sous les projecteurs. Tout le monde pense que c'est à cause de mon père, qui était réalisateur mais loin de là, Nicholas mon grand frère ni a pas toucher une seule fois, il trouver ce monde trop grand, trop plein de principe, de pré-jugé, le monde du spectacle était très peu pour lui et il essayé tant bien que de mal de s'en éloigner. J'aurais aimais êtres aussi fort que lui, mais ma passion pour la scène était trop grande. Joué la comédie, entré dans la peau d'un personnage, faire des moues, des sourires forcer, des grimaces, tout ça, j'adore ça. J'aurais préféré commencer un peu plus tard, mais mon père voyait déjà en moi une grande actrice, et a peine j'avais l'age de parler qu'il m'as mis au devant. J'avais quatre ans, et je joué une petite fille timide dans un film réaliser par mon père. Quand je suis monté sur le plateau pour la première fois, j'avais une boule au ventre. Quatre ans et déjà beaucoup de pressions, mais au fil du temps j'ai trouver comme un refuge de monté sur scène, et surtout j'ai trouver une satisfaction d'entré dans un rôle et faire comme si j'étais une autre personne. J'ai toujours trouver que j'étais trop différente des autres filles de mon age, enfant, je raté souvent les cours pour rejoindre mon père sur le tournage de ses multiples films et faire comme si je réalisé moi aussi un film, en montant sur les échafaudage ou encore en me posant dans le siège de mon père, mes petits pieds les uns sur les autres. Je me trouvais spéciale, mais j'avais surtout l'impression d'êtres spectatrice de ma vie. Surtout en mille neuf cent quatre vingt quatorze, quand mes parents ont divorcer. Je me disait que cette fille que je regarder dans la glace, ce n'était pas moi, celle qui se faisait tirer chez son père et chez sa mère, une fois sur deux, les semaines de vacances. Pendant une longue période, je me sentait un peu invisible, malgré que toute les discutions de mes parents tourner autours de mon frère et moi. Je savait qu'il savait que j'étais là, mais je ne sentait même pas l'utilité de ma présence. Nicholas m'as beaucoup aidé dans ses périodes là. Il dormait à même le sol, près de mon lit et me rassurer. Nico a toujours était un exemple pour moi, si j'étais un garçon, j'aurais aimait êtres comme lui. Il n'as jamais dit quoi que ce soit sur ce que je faisait, même si le monde du spectacle l'horripilée, il disait que moi, j'avais beaucoup de talent et que je devait continué, parce que j'avais l'air bien sur les plateau, que j'avais une manière de joué fantastique, et surtout que je passe super bien à la télé. Dans la même année, mes parents on mis fin à toute leurs relation, celle qui a pue exister, et celle qui les liée encore. On a déménager de notre petite banlieue en en Californie et chacun a pris sa maison. Mon père a pris une autre grande maison, deux pattés de maison à côté, et ma mère a pris un appartement en ville pour recommencer une nouvelle vie. J'ai assister à leurs renaissance, ça m'as fait tout bizarre de voir ma mère avec d'autre homme, et encore plus de voir mon père se remarier l'année d'après avec une femme qui avais déjà des enfants. On est devenue une famille composée, il y avais toujours Nico et moi, mais il y avais aussi Julie, David et Michaël, sans oublié Sean.


ELLE M'AS TOUJOURS MONTRER QU'ÊTRES FORTE C'EST COMME LE VELO. PLUS TU TOMBES PLUS TU TE RELEVE ET PLUS TU APPRENDS. Je me suis retrouver dans Spencer. Son côté un peu leader sans vraiment l'être, et sans vraiment le faire remarquer. Son côté un peu rebelle, tout en gardant la classe des Hasting. Spencer a des aspects de sa personnalité que personne ne connais à part Tobby. Elle donne l'impression que la mort d'Alison l'intrigue plus que ne l'as perturbe et pourtant ce n'est pas le cas. La mort de son amie l'as profondément blesser, mais elle essaye de vivre dans le présent et oublié le passer. Malheureusement A, est là pour lui faire rappeler ses erreurs de jeunesse. Au début de la saison un, je penser êtres incapable de jouée une adolescente ! Au fil du temps, j'ai bien compris que Spencer était TOUT sauf une petite adolescente sans histoire et sans personnalité. Je me suis toujours un peu chercher, depuis que j'ai seize ans, j'enchaîne les petits rôle et j'ai trouver un réconfort dans le fait de changer tout le temps de personnages, c'est comme prendre une nouvelle peau et ce la coller au visage, n'être plus soit même ! Pendant un long moment, je me disait que c'était vachement cool de pouvoir changer tout le temps, ne savoir qu'un bout de la facette d'un personnage. Et pourtant, lorsque j'ai pris Spencer, que je suis entré dans sa peau, dans son monde, dans son histoire, je me suis rendue compte que savoir un peu plus chaque jour sur un personnage ce n'est pas mal non plus. Quand j'ai lue le scénario pour Pretty Little Liars, l'histoire me semblait un peu farfelue. Une amie morte qui refait surfasse pour faire du mal ? C'est sensé êtres un film pour ado ou pour faire peur au ado ? A première vue, la série me semblait trop Deasperate Housewife version gamine pour moi. Mais encore une fois, je m'était tromper et je remercie mon frère de tout mon âme de m'avoir forcer à auditionner pour le rôle ! Je pense que Spencer et moi on se ressemble. Pas seulement le visage voyez vous, au niveau de la personnalité, et de la manière de voir les choses. Spencer est la plus curieuse des Liars, elle veut ABSOLUMENT mettre la main sur quelque chose ,et les faire sortir de cet boîte ou elles sont emprisonner et utilisé comme des pantins. Spencer comparer au autres filles, a un instinct de survie, elle ne se laisse pas immerger par les événements, à moins que ça touche quelqu'un qu'elle aime vraiment très fort, comme Tobby ou Wren. Comme moi, elle n'aime pas qu'on touche au gens qu'elle aime.